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iamovitch

Humour noir politico-psychotique et sexué.

Ya Tibia lioubioubiou

Publié le 10 Janvier 2007 par iamovitch in RUSSIA I SSSR

Robert tituba. Il ne pouvait croire encore à la réalité de cet instant magique :
Irina se tenait devant lui dans sa chambre, prêt du lit en pin massif couleur crème de cassis..
Irina ! Irina ! sa femme ! la sienne ! rien que pour lui ! Affolante dans son chemisier en voile transparent imprimé de motifs pissenlits qui laissait deviner ses seins généreux dardés dans un soutien-gorge noir en tulle brodé avec dos extensible, et sa jupe droite en coton mongol outrageusement fendue sur trois centimètres ! Irina ! son Irina !
 
De taille modeste, sauf au niveau de l'abdomen, pourvu d'une intelligence en parfaite harmonie avec sa beauté puissamment déguisée : Robert n'avait jamais eu la chance qu'il méritait avec les femmes. A quarante quatre ans, ses conquêtes se comptaient entre le pouce et l'index et un lot de string 100% polyamide acheté en catimini à la Redoute. Il possédait pourtant de nombreux atouts pour faire chavirer les coeurs clitoridiens, dont son humour ravageur n'était pas des moindres ! Combien de camarades avaient expectoré de rire en encoutant ses blagues à la buvette Pernod-Ricard de la section de Bobigny-Le Raincy !! Et pourtant Robert désespèrait de ne jamais pouvoir planter les sept cent millimètres de son étandard viril dans le vagin fébrile d'une douce compagne...
 
C'est alors que sa vie avait basculé ! un soir de juin où la solitude accablante déposait ses gros flocons mordorés sur son palpitant meurtri, son âme blessée, et le contenu non-opérationnel de son pantalon, lorsqu'il pénétra par hasard dans les locaux de l'agence Novaïa Jena dont il avait trouvé par hasard l'adresse en tapant par hasard "femmes russes" dans la bouche à gougleue.
Pour seulement 6474 € TTC, il avait pu feuilleter tout un catalogue de femmes slaves prêtes pour le grand saut du namourage francorusse !
 
Dès qu'il vit la photo d'Irina, un coup de foudre lui traversa le corps caverneux ! Sans l'ombre d'une hésitation, il la mis de côté avec les deux autres auquel il avait droit ! Et le miracle s'accompli ! Dès leur première rencontre à Mosckva, Irina fût subjuguée par la force tranquille de  son aura simiesque ! Cupidon lui transperça les ovaires ! Elle lui fit comprendre par gestes qu'elle n'en pouvait plus de souffrir le matyre dans l'attente de leur Union Sacrée à l'église Orthodoxe d'Issy-Les-Moulinaux ! Et maintenant : elle était là !!
 
Robert trésaillit ! Irina se tourna vers lui, le regard enflammé et la bouche sensuelle. Il entendit ses doigts délicats ouvrir lentement la fermeture éclair de sa jupe. Elle s'avança à sa rencontre dans un déhanchement impudique. Sa jupe dévoila les promesses de ses cuisses. "Prrrrrrrrendez-moye" mumura-t'elle d'une voix rauque et humide en dégrafant lentement un à un les boutons de son chemisier fleuri. Soudain ! sa jupe tomba à terre ! Robert fut pris de vertige et saisi d'un afflux sanguin significatif ! "Prrrrrrrendez-moye, moye liouboff" susurra-t'elle, alors qu'il était désormais visible sous ses jolis collants de chez Tatin que sa culotte prune n'était pas assortie. "Ooooohhh ! moye liouboff !" eructa-t'elle en l'enlaçant étroitement de son corps chaud dévoré de désir ! "moyyye liiiouboff !!" hurla-t'elle assoiffée de plaisir en lui déboutonnant sauvagement son pantalon qu'elle fit dégringoler sur se talons ! Le coeur de Robert battait à tout rompre ! aucun son ne pouvait sortir de sa gorge !
 
Soudain Irina s'arrêta...Elle se tint immobile un instant, puis recula avec un air boudeur de petite fille malheureuse et fachée...Robert se mépris sur ce brusque revirement. Il cru que c'était à cause du magnifique caleçon à pois que sa maman lui avait offert pour son quarantième anniversaire !...et puis il sentit...
 
Une large tâche poisseuse venait de se former.
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M
....à ses rares heures où elle s'autorisait enfin à laisser libre cours à ses desirs elle se remémorait la scène et tous ses sens palpitaient ..........
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